Présentatrice star de la chaîne M6, Ophélie Meunier se confie sur sa vie de femme épanouie !
Vous avez un parcours atypique. Ancienne mannequin, vous êtes aujourd’hui l’une des animatrices phares de l’espace télévisuel. Parlez-nous de votre parcours…
Une animatrice phare c’est gentil, mais disons que c’est en construction pour le moment. Je trouve ma place, année après année. Après une vie de mannequin épanouie j’ai décidé de reprendre mes études. Mes voyages aux quatre coins du monde en tant que mannequin m’ont donné envie d’être journaliste.
Après mes études à l’ESJ, j’ai enchaîné les expériences géniales à la télévision, le Petit Journal avec Yann Barthès, la Nouvelle Edition, le Tube et puis Zone Interdite. C’était intense, mais que c’est bon d’avoir le sentiment d’aller de l’avant.
Vous avez évoqué, lors de votre arrivée aux commandes de cette émission, « un des plus gros challenges » de votre carrière. Êtes-vous satisfaite de cette expérience ?
Oui je suis satisfaite et ce serait dommage que je ne le sois pas ! J’ai la chance de porter une émission emblématique de la télé française, nos enquêtes ont fait parler d’elles, les audiences sont au rendez-vous depuis 3 ans, c’est une expérience très positive.
Quelle touche personnelle avez-vous apportée à l’émission ?
Depuis mon arrivée je suis allée sur le terrain pour chaque documentaire. Zone Interdite c’est une émission qui va à la rencontre des Français alors moi aussi je voulais y aller !
Ensuite, je suis la narratrice de chaque documentaire, j’accompagne donc les téléspectateurs avec ma voix. Et enfin, dans le travail du quotidien, j’y apporte mes idées et mon regard de jeune femme de 30 ans.
Vous entamez votre 3ème saison à la tête de l’émission « Zone Interdite », sur M6. Qu’attendez-vous de cette saison ?
La première année était celle de la découverte, la deuxième année c’est de la stabilisation, celle-ci sera celle je l’espère celle de la maturité. J’aimerais continuer à surprendre les téléspectateurs, et à me surprendre !
Joker du journal télévisé, comment avez-vous vécu votre premier JT ?
Mon premier JT sur M6 était mémorable. C’était le 18 juillet 2016, 4 jours après le terrible attentat de Nice. Le journal était quasiment entièrement consacré à l’événement. J’étais doublement émue, de ce qui se passait en France à ce moment-là, et de ma première antenne sur M6.
Quel est le souvenir qui vous a le plus marqué à l’antenne ?
C’est difficile d’en choisir un, mais je dirais mes rencontres. Chaque tournage, je vais à la rencontre de Français qui ont des expériences de vie hors du commun, j’apprends d’eux, et je pense que cela a fait de moi quelqu’un d’encore plus ouvert.
Comment entretenez-vous la relation avec vos téléspectateurs ?
Au quotidien par les réseaux sociaux, je suis une jeune femme de mon temps qui vit (un peu) avec son portable. Je poste mes aventures, je réponds à leurs questions quand je le peux.
Et quand je les rencontre dans la rue, je suis simplement à leur écoute, et ça les touche.
En tant que journaliste, est-il compliqué de concilier vie privée et vie professionnelle ?
Non. Quel que soit le métier qu’on fait, je crois que c’est une question d’équilibre à trouver avec l’autre, mais aussi avec soi-même.
En cette fin d’année, quel serait le lieu rêvé pour vous évader ?
N’importe où me va sincèrement si je suis avec les gens que j’aime! Mais je dois avouer que j’ai un petit faible pour les destinations ensoleillées au milieu de l’hiver.
Non. Quel que soit le métier qu’on fait, je crois que c’est une question d’équilibre à trouver avec l’autre, mais aussi avec soi-même.
Avez-vous des projets ?
Mon principal projet est de continuer à m’investir à fond dans ce que je fais !
Que peut-on vous souhaiter pour l’avenir ?
D’avoir la possibilité le plus longtemps possible de porter une émission qui m’enrichit, m’épanouit et me passionne autant que ce que j’ai vécu ces 6 dernières années.
En cette fin d’année, quel serait le lieu rêvé pour vous évader ?
N’importe où me va sincèrement si je suis avec les gens que j’aime! Mais je dois avouer que j’ai un petit faible pour les destinations ensoleillées au milieu de l’hiver.